- EAN13
- 9782384820764
- ISBN
- 978-2-38482-076-4
- Éditeur
- Philippe Rey
- Date de publication
- 14/03/2024
- Collection
- Fugues (1)
- Nombre de pages
- 534
- Dimensions
- 19,2 x 12,2 x 2,7 cm
- Poids
- 360 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Une œuvre vive et exaltante, où Joyce Carol Oates donne accès aux coulisses de son écriture, à sa vie intérieure et à son quotidien
Large fragment d'autobiographie de l'un des plus grands auteurs américains, le Journal de Joyce Carol Oates est un document littéraire de première importance. Elle l'entreprend à l'âge de trente-quatre ans, le 1er janvier 1973, tout en poursuivant ses œuvres de fiction. Bien que détestant être qualifiée de prolifique, Oates écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse : " Écrire est... une drogue, douce, irrésistible, et épuisante ", dit-elle.De ces lignes rédigées " au fil de la plume et spontanément " émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Oates parle de manière franche et très émouvante de son mariage – si heureux – avec Raymond Smith, de sa vie d'enseignante (à Windsor puis à Princeton), de son manque d'instinct maternel et des heures qu'elle passe au piano. Sa réputation croissante dans le monde littéraire l'amène à des rencontres et des amitiés avec des écrivains comme Philip Roth, John Updike, Susan Sontag, Joan Didion et bien d'autres. Mais, peu à l'aise avec les signes de la célébrité, Oates ne cesse de se réfugier dans sa vie intérieure, à la poursuite de son œuvre. Une œuvre dont ce Journal – qui égale celui de Virginia Woolf – est à coup sûr une pièce majeure.
" Au-delà du simple témoignage, Joyce Carol Oates compose jour après jour un admirable manifeste à la gloire de l'imagination. " Augustin Trapenard, ELLE
Large fragment d'autobiographie de l'un des plus grands auteurs américains, le Journal de Joyce Carol Oates est un document littéraire de première importance. Elle l'entreprend à l'âge de trente-quatre ans, le 1er janvier 1973, tout en poursuivant ses œuvres de fiction. Bien que détestant être qualifiée de prolifique, Oates écrit chaque jour avec une énergie fiévreuse : " Écrire est... une drogue, douce, irrésistible, et épuisante ", dit-elle.De ces lignes rédigées " au fil de la plume et spontanément " émerge un portrait non expurgé de l'artiste en femme, écrivain, professeur, amie. Oates parle de manière franche et très émouvante de son mariage – si heureux – avec Raymond Smith, de sa vie d'enseignante (à Windsor puis à Princeton), de son manque d'instinct maternel et des heures qu'elle passe au piano. Sa réputation croissante dans le monde littéraire l'amène à des rencontres et des amitiés avec des écrivains comme Philip Roth, John Updike, Susan Sontag, Joan Didion et bien d'autres. Mais, peu à l'aise avec les signes de la célébrité, Oates ne cesse de se réfugier dans sa vie intérieure, à la poursuite de son œuvre. Une œuvre dont ce Journal – qui égale celui de Virginia Woolf – est à coup sûr une pièce majeure.
" Au-delà du simple témoignage, Joyce Carol Oates compose jour après jour un admirable manifeste à la gloire de l'imagination. " Augustin Trapenard, ELLE
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